Obtenir un ebook gratuit , by Matthieu Biasotto
Maintenant, de cette manière ne pouvait pas besoin d'avoir lieu. Vous pouvez aller de l'avant dans la vie beaucoup mieux avec les types de ressources alternatives. Réserve comme une ressource merveilleuse peut être approuvée à utiliser. Livre est une manière de faire ainsi que de vérifier si vous avez le moment pour l'obtenir. Même si vous ne le faites pas, comme vérifier beaucoup; il va vraiment vous aider à comprendre quelques-unes des nouvelles compétences. Et ici, , By Matthieu Biasotto est fourni en avance avant le long de vos méthodes.
, by Matthieu Biasotto
Obtenir un ebook gratuit , by Matthieu Biasotto
Millions de prestations de publication peuvent être prises tout si vous ne possédez pas seulement comme votre propre. Il va certainement se produire lorsque vous lisez le livre, page par page, pour terminer. En outre, l'examiner très bien peut vous aider à réduire obtenir la leçon. La leçon ainsi que les avantages des livres que nous les États peuvent être nombreux. Vous êtes très probablement pas conscients du fait que ce que vous vous sentez aussi bien que ne deviennent actuellement certaines parties des avantages de la lecture de cette publication précédemment.
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Détails sur le produit
Format : Format Kindle
Taille du fichier : 3590 KB
Nombre de pages de l'édition imprimée : 408 pages
Vendu par : Amazon Media EU S.Ã r.l.
Langue : Français
ASIN: B06XF6V4GB
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Moyenne des commentaires client :
4.5 étoiles sur 5
179 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
n°1.755 dans la Boutique Kindle (Voir le Top 100 dans la Boutique Kindle)
L’idée est bonne : une fille avec le pouvoir surnaturel, mais ce n’est pas du tout exploité.Le livre est mal écrit, les dialogues sont très naïfs, n’apportent pas grande chose, on suit les évènements surtout par la narration qui aussi n’est pas d’une grande qualité : assez répétitive et très exagérée.C’est qui m’a dérangé aussi c’est les erreurs par apport aux pays, et par apport à la logique tout court ; par exemple :Les filles reçoivent un déjeuner immonde: une bouille de betteraves rouges collante (pourquoi collante et immonde ? d’ailleurs, la soupe de betteraves rouges c’est une des spécialités culinaires du pays), mais un petit déjeuner est royale : pain, charcuterie, tomates (tomates ??? en décembre dans les années trente il n’y avait pas de tomates en hiver, certainement pas en Pologne profonde) et des beignets avec du miel (les beignets polonais ne sont jamais avec du miel mais avec de la confiture, d’ailleurs les beignets français aussi).En décembre en Pologne (hiver), les gens se promènent dehors peu habillés parfois pendant des heures, Eva est baignée dans l’eau glacée et ensuite elle travaille, toujours dehors, dans les habits mouillés. C’est invraisemblable, elle serait morte ou au moins en choc thermique et ferait ensuite une pneumonie.Essayez donc de mettre juste votre main dans l’eau glacée pendant 10 minute et ensuite essayez de balayer dehors.Les filles prennent la douche chaque matin : surprenant parce que dans les années trente on se baignait une fois par semaine et encore … et en plus en Pologne jamais le matin, plutôt le soir.Et je ne vais pas parler des erreurs historiques: en dehors du pensionnat, la pire des guerres mondiales a commencé; donc il faut conclure que l’action se passe en décembre 1939, donc comment un pensionnat pouvait fonctionner normalement ? Toutes les écoles en Pologne étaient fermées et l’enseignement interdit.Et depuis quand le Wehrmacht s’intéressait aux pouvoirs surnaturels ? etc. etc.
Le résumé du livre nous plonge de suite dans le bain sans pour autant trop en dire… de quoi cultiver le suspense et faire monter la pression. Notre corps va souffrir par procuration et notre âme va être happée par le tourbillon d’une culpabilité inévitable et grandissante.Oui, c’est une des forces de Matthieu Biasotto : nous balloter de gauche à droite tout au long de ses textes, avec des personnages poignants, des situations parfois dérangeantes, des mises en scène réalistes, des intrigues bouleversantes. Oui, il sait bien le faire, et il aime tellement cela que c’en est presque sadique. Et nous, lecteur, on signe pour ça, alors allons-y !Nous voilà donc immergé dans la Pologne des années 30 auprès d’Ewa, une enfant de 15 ans qui va voir son existence bouleversée à l’issue d’une soirée tragique, où elle assiste à la mort de ses parents dans des circonstances que je vous laisserai découvrir par vous-même. Nous sommes en droit de nous demander d’ailleurs, comment, après un tel événement, on se relève et affronte la vie, surtout à cet âge-là.Son oncle Leslaw, qui assiste à cette soirée cauchemardesque et qui est le dernier membre de sa famille, va l’emmener dans une pension pour filles. Son idée : la « protéger ». La protéger d’elle-même, mais aussi garantir la sécurité des autres face à ce don qui se transforme rapide-ment en malédiction. Seulement voilà, il est loin de se douter que cet établissement est dirigé par une femme de poigne qui aime abuser de son autorité et c’est Ewa qui en fera les frais, au même titre que les autres pensionnaires.Pour garantir pleinement la sécurité de sa nièce et des autres internes, Leslaw exige que la te-nancière des lieux fasse retirer TOUS les miroirs du bâtiment sans exception. Une exigence respectée à coups d’influence sociale et de billets. Mais voilà, rien ne peut jamais être garanti à 100 %. Vous aurez compris qu’il existe un lien entre les miroirs et la malédiction qui frappe la jeune Ewa, l’histoire finira d’attiser votre curiosité sur le sujet.La directrice, d’origine allemande, ne laisse pas la place au doute. Elle est entourée d’une surveillante à sa botte, d’un homme à tout faire sous son emprise, et de pensionnaires soumises. La perversité au service du pouvoir… ou l’inverse peut être.Cet établissement, ou plutôt devrais-je dire cette prison pour adolescentes, va vite mettre Ewa dans des situations épouvantables : sévices corporels et autres humiliations qu’on ne devrait pas avoir à vivre, ni à 15 ans ni jamais d’ailleurs. Tout va s’enchaîner pour elle : d’un point de vue physique, elle va prendre cher ; d’un point de vue psychologique, elle ne va pas être épargnée. Elle va pleurer sur son sort, douter de l’avenir, se méfier de tout et de tout le monde, craindre pour sa vie, sombrer dans l’angoisse et la peur… Elle va même être tentée par les miroirs, pour-vu qu’elle puisse éclaircir son avenir.Elle va même espérer une évasion qui paraît impossible et pourtant, elle assiste, une nuit, à la disparition d’une des résidantes de l’établissement et va chercher à en comprendre les raisons.Et le lecteur dans tout ça ? Il est là : il souffre avec elle, il la suit partout avec une impuissance qui lui tord le ventre sur certaines scènes, il aimerait prévenir Ewa de certains pièges qui l’attendent, mais il se rend compte qu’il ne peut rien. Il ne peut rien pour elle, sauf être rempli d’empathie et de compassion. Alors, comme la jeune Ewa, il s’apitoie, il est triste, impuissant, fatigué, coupable, à bout de forces, et il fait le dos rond en attendant des jours meilleurs…Je vais vous laisser le soin de découvrir tout cela par vous-même, car il faut absolument que vous puissiez vous imprégner totalement de la plume et des mots de l’auteur, qui exprime les maux d’Ewa avec une précision chirurgicale, qui vous parlera de la malédiction qui pèse sur cette gamine, qui vous servira sur un plateau d’argent l’histoire peu banale de cette jeune fille si parti-culière.Matthieu exploite avec justesse la notion de chaud/froid dans les chapitres, nous plongeant tan-tôt dans le climat glacial de la Pologne en hiver – on en frissonnerait presque à la lecture de certains passages –, tantôt dans la chaleur des rapports humains qu’entrevoit Ewa dans cette pension et qui nous donnent espoir en l’humain.Le style d’écriture dans Ewa est pour moi l’un des plus aboutis, si ce n’est le plus abouti, enfin jusqu’au suivant, car connaissant le perfectionnisme de Matthieu et son acharnement à toujours faire mieux, le prochain promet un excellent moment de lecture… Eh bien voilà, j’ai déjà hâte de le lire.Dans ce livre, chaque mot est choisi avec la plus grande attention, un travail d’orfèvre pour un effet des plus précis. Les scènes sont visuellement très réussies : de l’action qui plonge le lecteur dans une réalité tantôt glauque et tantôt rassurante, des personnages qui sonnent juste, quel que soit leur rôle tout au long de l’histoire, et une fin qui nous permet de nous dire une fois de plus que le « travail » est accompli pour l’auteur et le but recherché est atteint pour le lecteur : nous toucher !Il est difficile de lire Ewa sans être pris d’empathie pour cette gamine qui n’a rien demandé à personne et qui doit se conformer aux choix des adultes, pas toujours bienveillants d’ailleurs. Difficile de ne pas partager ses douleurs et sa souffrance, de n’être qu’un spectateur impuissant de certaines scènes, on culpabilise même de ne pas pouvoir la sortir de cet enfer programmé.Bonne lecture
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